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Notre Mission

Bientôt seize ans d'existence pour l'association Vivre à Gouéné et déjà pas mal de réalisations à notre compte. Grâce au soutien de l'association Ciborogolaa à Bamako avec qui nous travaillons en étroite collaboration mais aussi grâce à l'impulsion et la volonté des Gouénékas et de nos adhérents et donateurs nous sommes fiers de vous présenter la liste de nos réalisations.


L'aide aux enseignants.


Théoriquement, c'est l'État malien qui prend en charge les instituteurs. Malheureusement le Mali n'a pas les moyens de rémunérer un nombre d'enseignants suffisant. A la rentrée 2005, les associations Ciborogolaa et Vivre à Gouéné ont fait pression sur le DICAP pour obtenir 3 enseignants supplémentaires. Ceux-ci ont effectivement été mutés à Gouéné mais pour une année seulement.

Pour la rentrée 2005/2006 il y avait à nouveau 3 postes d'enseignants à pourvoir. Dans un premier temps et pour pallier à ce manque d'instituteurs, les cours ont été assurés par des habitants de Gouéné. Cette solution transitoire ne permettait pas d'avoir un enseignement de qualité.


Aussi l'association Vivre à Gouéné a décidé de financer ces 3 postes d'instituteurs. Depuis janvier 2006, l'école compte donc à nouveau 6 postes d'enseignants. Les salaires de ces 3 instituteurs sont donc pris en charge par l'association Vivre à Gouéné. Mais pour maintenir ces enseignants à Gouéné, nous devons tous les mois financer leurs salaires. Cette solution ne peut donc qu'être provisoire pour l'association car financièrement coûteuse.



Nous espérons qu'avec la cantine, le DICAP fera tout le nécessaire pour payer 3 instituteurs, il s'est engagé dans ce sens. Nous y veillons et mettons tout en oeuvre grâce au soutien de l'association Ciborogolaa à Bamako pour que ce projet prenne forme.

  

Financement de trois postes d'enseignants de Janvier à Juin 2006. L'état malien s'engageant à prendre le relais à la rentrée prochaine.

Depuis la rentrée 2006, l'État malien finance tous les postes d'instituteurs soit 4 enseignants + le directeur de l'école.

Au total donc 5 classes sur 6 sont utilisées.

2008-2009 : nouvelle équipe de 5 enseignants (dont le directeur) plus un stagiaire. Gouéné continue à être privilégié car bien pourvu en postes d'enseignants. 6 classes pour 399 élèves en 2009. En 2012, les six classes sont pourvues d'enseignants, mais les effectifs d'élèves sont surchargés, une classe dépasse les 100 enfants. Projet de construction de deux nouvelles classes, financées comment ?

En 2012, 483 élèves à l'école primaire, 462 à Gouéné et 21 à Nanziedougou.
C'est aussi en 2012 que l'on « découvre » une classe de rattrapage (?), de 21 enfants.

En 2014, il manque un poste à l'école primaire. Nombre d'élèves:456. Le projet de construction d'une classe a été retenu par VAG, selon possibilités et subventions.

En 2015, les six postes  d'enseignants sont pourvus. L'effectif d'élèves est de 415 enfants, 238 garçons et 177 filles. Il n'y a plus la parité. Deux des classes sont clairement surchargées avec un effectif  respectivement de 90 et 95 enfants.
Si l'effectif total a baissé depuis l'an dernier, c'est que le directeur a dû prendre la décision de ne plus accueillir les enfants de moins de six ans. "Il faudrait un jardin" (d'enfants) dit le président de la commission scolarité.
La construction d'une nouvelle classe a été l'objectif de nos demandes de subvention (Mairie et Conseil général) Malheureusement cela n'a pu se faire, l'argent a été utilisé à des priorités plus urgentes.